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Facteurs de bonnes pratiques du signalement externe des infections nosocomiales - Medecine / Foxoo
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Source : #15006 Publié le 26/04/11 | Vues : 67

Facteurs de bonnes pratiques du signalement externe des infections nosocomiales / Medecine


Facteurs de bonnes pratiques du signalement externe des infections nosocomiales est une enquête qualitative réalisée par Christine Quélier, Pascal Jarno, Hélène Sénéchal, Catherine Dumartin, Nathalie Jouzeau, Claude Bernet, Anne Carbonne, Isabelle Poujol, Martine Aupée et Bruno Coignard, publiée dans le BEH n°15-16-17 en avril 2011.

Dans le cadre de sa politique de lutte contre les infections nosocomiales (IN), la France s'est dotée en 2001 d'un dispositif de signalement des IN réglementaire auquel doit participer tout établissement de santé (ES), public ou privé. En complément des systèmes de surveillance, l'objectif de ce dispositif est de détecter des situations à risque infectieux suffisamment graves ou récurrentes pour mettre en oeuvre des mesures de prévention et de contrôle à l'échelon local, régional ou national.

Il se traduit par un premier niveau de signalement interne (SI), qui s'organise au sein de chaque établissement avec l'équipe opérationnelle d'hygiène (EOH), le laboratoire et les professionnels de soins. Certains des SI sont susceptibles de faire l'objet d'un signalement externe (SE), second niveau du dispositif. Il s'agit alors pour l'établissement de transmettre à l'Agence régionale de santé (ARS) et au Centre de coordination de la lutte contre les infections nosocomiales (CClin) une fiche standardisée non nominative, décrivant les caractéristiques de l'évènement infectieux signalé et les mesures mises en oeuvre pour le contrôler.

Les SE des IN constituent la partie émergée, la plus visible, de ce dispositif dans la mesure où ils convergent vers le niveau central. On en connaît le nombre, la nature, la répartition et certains de leurs effets. Ainsi, on observe que, depuis son institution en 2001, le nombre de SE n'a cessé d'augmenter, témoignant d'une appropriation progressive du dispositif. Toutefois, celui-ci semble inégalement implanté dans les ES : certains ne signalent jamais, d'autres signalent régulièrement. On constate aussi que selon le type d'activité, mais aussi selon la région, les taux annuels de signalement (nombre de signalement pour 10 000 lits) sont très hétérogènes, ce qui reflète probablement un sous-signalement et suggère la possibilité d'une marge de progression dans la diffusion de cette pratique.

Téléchargez le dossier complet sur le Bulletin épidémiologique hebdomadaire n° 15-16-17, avril 2011


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